Une chambre pour deux
L'arrivée d'un enfant bascule certes la vies des parents, mais aussi celle des aînés. Outre la place affective, le petit dernier prend aussi de l'espace. Alors chambre séparée ou cambre collective ?
Quand le logement est trop petit, la question ne se pose même pas : c'est chambre commune. Les parents seraient avisés d'installer le nouveau-né dans un autre endroit tant qu'il ne fait pas ses nuits, de manière à prévserver le sommeil de l'aîné; De plus, ce dernier doit pouvoir continuer à jour dans la journée : difficile, si le nourrisson dort dans la même pièce. L'ainé ne verra pas forcément d'un bon oeil l'arrivée dans son espace de cet encombrant voisin, déjà objet de bien des attentions. C'est pourquoi il est important qu'il conserve un coin bien à lui. Si l'espace s'y prête, on peut fort bien séparer la chambre en deux, à l'aide de ces cloisons amovibles, qui permettent d'élargir la chambre dans la journée et de séparer les enfants la nuit.
Tant que le bébé est petit, il ne représente pas un danger pour les affaires du plus grand. Dès qu'il commence à marcher, tout se "corse" : il voudra inévitablement explorer le coin de son frère ou de sa soeur. C'est alors aux parents d'expliquer au plus jeune que chacun à droit à son espace, plutôt que d'essayer de faire admettre à l'ainé que "c'est un bébé, il ne peut pas comprendre".
Pour un enfant partager sa chambre avec un frère ou une soeur est une illustration concrète du bouleversement qu'occasionne l'arrivée du petit dernier. Un bouleversement qui n'a pas que des désavantages : très rapidement le petit frère ou la petite soeur deviendra un compagnon de jeu.
Une chambre pour deux
L'arrivée d'un enfant bascule certes la vies des parents, mais aussi celle des aînés. Outre la place affective, le petit dernier prend aussi de l'espace. Alors chambre séparée ou cambre collective ?
Quand le logement est trop petit, la question ne se pose même pas : c'est chambre commune. Les parents seraient avisés d'installer le nouveau-né dans un autre endroit tant qu'il ne fait pas ses nuits, de manière à prévserver le sommeil de l'aîné; De plus, ce dernier doit pouvoir continuer à jour dans la journée : difficile, si le nourrisson dort dans la même pièce. L'ainé ne verra pas forcément d'un bon oeil l'arrivée dans son espace de cet encombrant voisin, déjà objet de bien des attentions. C'est pourquoi il est important qu'il conserve un coin bien à lui. Si l'espace s'y prête, on peut fort bien séparer la chambre en deux, à l'aide de ces cloisons amovibles, qui permettent d'élargir la chambre dans la journée et de séparer les enfants la nuit.
Tant que le bébé est petit, il ne représente pas un danger pour les affaires du plus grand. Dès qu'il commence à marcher, tout se "corse" : il voudra inévitablement explorer le coin de son frère ou de sa soeur. C'est alors aux parents d'expliquer au plus jeune que chacun à droit à son espace, plutôt que d'essayer de faire admettre à l'ainé que "c'est un bébé, il ne peut pas comprendre".
Pour un enfant partager sa chambre avec un frère ou une soeur est une illustration concrète du bouleversement qu'occasionne l'arrivée du petit dernier. Un bouleversement qui n'a pas que des désavantages : très rapidement le petit frère ou la petite soeur deviendra un compagnon de jeu.
Une chambre pour deux
L'arrivée d'un enfant bascule certes la vies des parents, mais aussi celle des aînés. Outre la place affective, le petit dernier prend aussi de l'espace. Alors chambre séparée ou cambre collective ?
Quand le logement est trop petit, la question ne se pose même pas : c'est chambre commune. Les parents seraient avisés d'installer le nouveau-né dans un autre endroit tant qu'il ne fait pas ses nuits, de manière à prévserver le sommeil de l'aîné; De plus, ce dernier doit pouvoir continuer à jour dans la journée : difficile, si le nourrisson dort dans la même pièce. L'ainé ne verra pas forcément d'un bon oeil l'arrivée dans son espace de cet encombrant voisin, déjà objet de bien des attentions. C'est pourquoi il est important qu'il conserve un coin bien à lui. Si l'espace s'y prête, on peut fort bien séparer la chambre en deux, à l'aide de ces cloisons amovibles, qui permettent d'élargir la chambre dans la journée et de séparer les enfants la nuit.
Tant que le bébé est petit, il ne représente pas un danger pour les affaires du plus grand. Dès qu'il commence à marcher, tout se "corse" : il voudra inévitablement explorer le coin de son frère ou de sa soeur. C'est alors aux parents d'expliquer au plus jeune que chacun à droit à son espace, plutôt que d'essayer de faire admettre à l'ainé que "c'est un bébé, il ne peut pas comprendre".
Pour un enfant partager sa chambre avec un frère ou une soeur est une illustration concrète du bouleversement qu'occasionne l'arrivée du petit dernier. Un bouleversement qui n'a pas que des désavantages : très rapidement le petit frère ou la petite soeur deviendra un compagnon de jeu.
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