Terreurs nocturnes
Malgré quelques réactions de l'enfant qui paraissent, de premier abord, similaires à celles observées pendant le cauchemar, les terreurs nocturnes sont, en fait, très différentes. Elles surviennent plutôt dans les trois premières heures de la nuit. Un bébé peut les éprouver à partir de l'âge de 6 mois environ. Les terreurs nocturnes sont très impressionnantes pour les parents car, comme dans le cas du cauchemar, leur bébé se met à hurler et à se débattre, mais, s'il a les yeux ouverts, cette fois, il semble ne pas les voir. En fait, il n'est tout simplement pas conscient de leur présence : pendant cet été paroxystique d'angoisse, il dort... Il est en train de passer une d'phase de sommeil très profond à une phase de sommeil paradoxal, celui du rêve. La transition s'articule mal et l'enfant se retrouve en pleine agitation. La tentation est grande de courir consoler son petit... Il faut pourtant se garder d'intervenir, ne pas allumer la lumière, ne pas le réveiller, le laisser s'apaiser et retrouver, tout seul un sommeil calme... Demain, il ne se souviendra de rien...
Terreurs nocturnes
Malgré quelques réactions de l'enfant qui paraissent, de premier abord, similaires à celles observées pendant le cauchemar, les terreurs nocturnes sont, en fait, très différentes. Elles surviennent plutôt dans les trois premières heures de la nuit. Un bébé peut les éprouver à partir de l'âge de 6 mois environ. Les terreurs nocturnes sont très impressionnantes pour les parents car, comme dans le cas du cauchemar, leur bébé se met à hurler et à se débattre, mais, s'il a les yeux ouverts, cette fois, il semble ne pas les voir. En fait, il n'est tout simplement pas conscient de leur présence : pendant cet été paroxystique d'angoisse, il dort... Il est en train de passer une d'phase de sommeil très profond à une phase de sommeil paradoxal, celui du rêve. La transition s'articule mal et l'enfant se retrouve en pleine agitation. La tentation est grande de courir consoler son petit... Il faut pourtant se garder d'intervenir, ne pas allumer la lumière, ne pas le réveiller, le laisser s'apaiser et retrouver, tout seul un sommeil calme... Demain, il ne se souviendra de rien...
Terreurs nocturnes
Malgré quelques réactions de l'enfant qui paraissent, de premier abord, similaires à celles observées pendant le cauchemar, les terreurs nocturnes sont, en fait, très différentes. Elles surviennent plutôt dans les trois premières heures de la nuit. Un bébé peut les éprouver à partir de l'âge de 6 mois environ. Les terreurs nocturnes sont très impressionnantes pour les parents car, comme dans le cas du cauchemar, leur bébé se met à hurler et à se débattre, mais, s'il a les yeux ouverts, cette fois, il semble ne pas les voir. En fait, il n'est tout simplement pas conscient de leur présence : pendant cet été paroxystique d'angoisse, il dort... Il est en train de passer une d'phase de sommeil très profond à une phase de sommeil paradoxal, celui du rêve. La transition s'articule mal et l'enfant se retrouve en pleine agitation. La tentation est grande de courir consoler son petit... Il faut pourtant se garder d'intervenir, ne pas allumer la lumière, ne pas le réveiller, le laisser s'apaiser et retrouver, tout seul un sommeil calme... Demain, il ne se souviendra de rien...
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